Gagné !!!!!!!!!!!

Publié: 04/07/2011 dans Généralités
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Youhou, ça y est les résultats sont tombés et j’ai réussi mon concours!! (petite danse de la victoire!!)

C’est passé! Plus qu’un examen , c’est ce qu’il faut se dire Impossible de savoir si oui ou non notre prestation a été bonne,si on ne répond pas bien le jury nous le fait savoir, si on est bon il cherche la petite bête.

6h40 … on m’a demandé d’arriver 45 minutes avant l’épreuve alors me voilà seule devant ce grand bâtiment (maison des examens de PAris) ! Des candidates arrivent au compte goutte, toute plus stressée les unes que les autres. Chacun rajoute des infos qu’elle a eu à droite à gauche, histoire d’encore plus stresser ! Nous avons dû attendre jusqu’à 7h30 pour entrer, le site étant sécurisé ( tous les sujets d’examens d’IdF passant par là.

Nous étions 9 à passer en même temps et donc à préparer dans une même salle l’épreuve ( à Créteil ils étaient 33 apparemment!). Début 7h46 ( à la seconde près) fin à 10h46. On nous conduit chacune dans un bureau où un conseiller pédagogique (spécialisé en français certainement) et un Inspecteur d’académie reçoivent. C’est parti pour 20 minutes où tu déballes ta séquence (attention à ne pas dépasser, puis aux questions qui te démontent ta séquence ! Et pourquoi? t si ? Que pensez vous de … ? Vous avez dit que …. ? Tout ce que vous avez dit il faudra être en mesure de le justifier…. et avec des arguments solides. Petites blagues entres membres du jury alors que toi tu ne sais pas si tu dois rire ou pleurer sur ton siège !

Mon sujet portait sur l’analyse et la compréhension de unes de quotidiens pour des CM2.

Il y a comme documents en salle d’examen, deux fascicules rassemblant divers documents : mais si tu les a pas lu avant ce n’est pas la peine d’essayer de les lire maintenant ..pas le temps.  Mais en gros, y a les programmes, le socle commun, fichiers pour l’évaluation, texte sur les compétences d’un fonctionnaire, des docs d’accompagnement sur le français, des textes de lois.

Fin de l’épreuve au bout d’une demi heure. Passons directement à l’entretien AEF (on essaye de ne plus penser au français et de se focaliser sur ça) avec le même jury ( qui vient de te dire ce qui n’allait pas dans ta séquence et qui se doit d’être impartial pour la suite!).

Exposé de 10 mutes sur l’étude de cas. Un enfant victime de violence, qui est coupable : parents ou camarades? Que faut-il faire? Et piuis 1à minutes de question s… J’ai eu le malheur d’oublier le médecin scolaire. 😦

Après avoir transpiré 50 minutes dans leur bureau, tu ressors libre avec l’étrange sensation de ne plus savoir si ce que tu viens de vivre était réellement l’épreuve pour laquelle tu te préparais  depuis un an ! J’ai oublié des choses, en ai confondu d’autres..mais ai réussi à garder mon sang froid, quand répétait des choses que je n’avais pas dites, ou parlait plus fort que moi pour me couvrir.

Une fois sortie tu te dis que ton jury, n’était peut être pas le pire. Une fille a fondu en sanglots en sortant, à une autre ils lui ont coupé la parole au bout de 15 minutes de son exposé (au lieu de 20 ‘) elle n’a donc pas pu finir. De l’air pitié de l’air.

Tout comme pour la journée de 1500 m , tu rentres chez toi, tu dors et t’as mal à la tête le reste de la journée…les révisions pour l’EPS et les maths attendront demain ! Mais surtout ne pas se décourager, sur un malentendu ça peut toujours passer!

Ca y est !! J’ai passé l’épreuve du 1500 m ce matin, je peux donc vous livrer à chaud les quelques infos pour celle qui stressent (académie de Paris) !

Convoquée à 8h30, à cause des pluies (ils attendent la fin des averses, c’est cool!) et de je-ne-sais-quoi nous sommes passées à 9h30.

Nous sommes 12 à être convoqués ( j’hésite à mettre « -ées », je n’ai vu que des filles!) en même temps.

– 1ère étape: on t’installe dans le couloir pour faire monter un peu la pression

– 2ème étape : tu passes dans un bureau pour donner ton certificat médical ( pour celles et ceux qui comme moi on flipper en se demandant s’il fallait envoyer son certif avant, la réponse est NON!), présenter ta convocation et ta pièce d’identité.

– 3ème étape : tu vas poser tes affaires (vestiaires fermés à clés tu peux tout laisser) et tu te dépêches d’aller t’échauffer car pressés par la pluie, les jurys ne te laissent que 5 minutes (échauffement + récupération). Ça, ce n’était pas très sympa mais bon il a fallu faire avec. Les candidats sont regroupés par groupes de 3, une couleur de dossard par groupe, et un numéro chacun. Chaque groupe dépend d’un jury de 2 jurés, qui ont chacun un chrono et qui sont là pour encourager, donner le nombre de tour et lancer des petites blagues! Il faut leur donner ta pièce d’identité que tu récupèreras  à la fin de la course.

– 4ème étape : départ en troupeau sur la ligne, c’était un stade de 300m, donc 5 tours à faire. On s’est relayé entre 4 filles pour faire le lièvre donc c’était super stimulant. LEs jurés annoncent ton numéro de tour à chaque passage et notamment le dernier pour donner tout ce que tu as.

-5ème étape: t’essaie de reprendre ton souffle, tu peux demander ton temps aux jurés ( une fois la course terminée pour tous), et tu récupères ta carte d’identité. Merci au revoir, c’est déjà fini !

Sur les 12 filles que nous étions, nous étions 4 en tête à faire entre 6’55 et 7’01, et 4 nous suivaient avec un temps inférieur à 7’20. Donc autant dire que plus de la moitié des candidates à 20 à cette épreuve. SI ça ne nous permet pas de nous démarquer un max, ça permet de ne pas perdre de points! 🙂

>> Rappel des barèmes : lien

C.R.P.E 2011
– Documentation spécifique (mathématiques)

Conformément au texte définissant le cadre du concours, les candidats disposeront d’une documentation en salle de préparation.
Les textes réglementaires suivants :

1. Le socle commun de connaissances et de compétences

2. B.O sur les programmes – n° 3 du 19 juin 2008 –

3. Arrêté du 28 décembre 2009 fixant les modalités d’organisation du concours externe

4. Arrêté du 12 mai 2010 portant définition des compétences à acquérir par les professeurs, documentalistes et conseillers principaux d’éducation pour l’exercice de leur métier

5. B.O n° 27 du 8 juillet 2010 – Enseignements primaire et secondaire – Evaluation – mise en oeuvre du livret personnel de compétences

6. Modèle national du livret personnel de compétences

7. Grilles de références pour l’évaluation et la validation des compétences du socle commun au palier 1 (mathématiques)

8. Grilles de références pour l’évaluation et la validation des compétences du socle commun au palier 2 (mathématiques)

9. Aménagement du temps scolaire BO n° 25 du 19 juin 2008

–        S’appuyer sur l’oral pour produire des textes afin que l’élève intègre les caractéristiques inhérentes au type de texte. L’apprentissage de la lecture facilite la production. Privilégier la dictée à l’adulte (elle permet de décharger les élèves du souci de graphie et de rendre manifestes les opérations mentales qui snt celle de quelqu’un qui écrit seul). Ecrire : Planification et composition d’un texte.

–        Sens du mot écrire : tracer, former des signes, acte de graphier. Copier, recopier. Rédiger, composer, écrire une histoire ou un texte, produire un écrit adapté à la situation de communication.

–        Situation de productions d’écrits :

Situations fonctionnelles (vraies) de lectures ou de productions d’écrits mettant en jeu des objets sociaux véritables, dans des projets de vie de classe. Nécessaire de les connaitre, de maitriser, de reproduire pour des situations de vie, des apprentissages, des besoins, des échanges ou de la communication. Ces écrits servent à donner des renseignements, des informations, à communiquer, à faire. Montre un intérêt.

Situations fictionnelles : pour développer le langage d’évocation et l’imaginaire. Permet un enrichissement lexical, syntaxique et culturel.

Situations d’écrits intermédiaires : garde la trace d’un travail. Aident à structurer la penser, sont à conservés. Exemples : cahier de bord, de pensée, de narration, d’expérimentation, journal de lecture, portfolios.

–        Ecriture au CE2 :

Oral : communication directe ( outil et objet d’apprentissage). Pour construire le savoir, le rapport aux autres et au monde, s’affirmer comme personnes et sujet social.

Ecrit : communication différée, permet un espace de liberté (possibilité de modifier), transcrit la parole. Outil intellectuel qui permet le cheminement et l’élaboration d’une réflexion abstraite, structure et organise la pensée.

–        Choix didactiques : l’élève est obligé d’analyser l’oral qu’il veut transcrire. On lit pour écrire. La relecture de l’enseignant permet à l’élève de prendre conscience des incohérences. Dictée à l’adulte, tutorat, outils de référence, interactions, différenciation, statut de l’erreur, étayage.

–        Amélioration : l’aide d’une grille ou d’un codage pour erreurs. L’enseignant peut réorganiser, poser les questions (pour inciter à utiliser les fiches outils) ; oraliser les textes écrits (retour des pairs). Attention les grilles de relectures sont difficiles à utiliser pour des C2.

–        Faire écrire des non-lecteurs : dictée à l’adulte, affichages, ressources de la classe, outils construits, cibler et organiser les recherches, les impliquer prioritairement lors de bilans.

–        Différenciation : supprimer les mots et expressions, les remplacer par des illustrations. Remettre en ordre des images puis les légender. Reconstituer une recette en remettant en ordre les phrases et repérer les verbes d’actions. Assembler étapes par étapes. Utiliser les mots étiquette.

–        Utiliser des textes référents : faire dire et redire des syntagmes, les rechercher dans un texte, écrire sous la dictée en cherchant des mots dans un texte référent, etc.

–        Composantes de l’écriture : éléments à prendre en compte dans toute activité d’écriture : environnement de la tâche d’écriture : destinataire ? moyen ? consigne ?texte déjà écrit ? collaborateur ? et l’individu.

Les processus cognitifs : planification (récupération des idées en mémoire, organisation, ajustement des idées en fonction du genre du texte envisagé et du destinataire visé), mise en texte (gestion des aspects grammaticaux), révision (auto évaluation).

La motivation : croyances et attitudes (représentation des fonctions de l’écrit), recherche d’un équilibre entre le coût envisagé et le bénéfice à tirer de produire des écrits.

–        Facteurs pour la cohésion d’un texte : les pronoms et la concordance des temps (usage homogène des temps : situation de l’action, de l’évènement, dans la durée ou bref, accompli ou non).

–        Production d’écrits en 2 temps : mettre en ordre un texte ( idées à clarifier issus d’un travail « en marguerite », trouver le début la fin, mettre en ordre) et la correction d’écriture (cohésion du texte : faire prendre conscience du fonctionnement référentiel des pronoms pour aider à la correction, amorcer la conscience grammaticale). Les élèves doivent prendre conscience que la production d’écrits impose un travail de composition et de réécriture.

Les solides C2

Publié: 11/05/2011 dans Cycle 2, Maths

–        Les polyèdres : solides de l’espace délimité par un nombre fini de polygones (faces planes). Décrits par le nombre de face, d’arêtes, de sommets et la forme des faces.

Angle polyèdre : angle formé par toutes les faces adjacentes d’un même sommet.

Perspective cavalière : Longueurs et angles non conservés, sauf sur le plan frontal ; conserve le parallélisme et le milieu des segments, les arêtes cachées sont représentées en pointillés.

Convexité : polyèdre convexe (# concave) si le polyèdre est situé entièrement d’un même côté par rapport  à l’une de ses faces, quand toutes les diagonales sont contenues à l’intérieur de lui-même, quand tout segment joignant deux points situés à l’intérieur du polyèdre est contenu dedans.

Formule d’Euler : Nombre de face + nombre de sommet = Nombres d’arêtes + 2

Polyèdre régulier : convexe et toutes les faces sont identiques et un même nombre d’arêtes aboutit à chaque sommet. Ex : Tétraèdre, cube – hexaèdre, octaèdre, dodécaèdre, icosaèdre.

Prisme : polyèdre avec 2 faces polygonales superposables et des rectangles V = Abase x h

Pyramide : polyèdre dont une face est un polygone convexe et les autres des triangles avec un sommet commun. V = A base x h /3

Polyèdre composé : obtenu par combinaison de polyèdres simples.

Polyèdre tronqué : troncature d’un polyèdre simple.

–        Solides non polyèdres : Cylindre (base circulaire/elliptique où toutes les sections parallèles à la base sont superposables à la base ; peut être droit ou oblique ; V= ∏R²xh) ; Cône (triangle rectangle qui tourne autour d’un des côtés de l’angle droit ; cône de révolution ou cône droit ; V = ∏R²h/3) ; Sphère (ensemble des points de l’espace situé à une même distance d’une origine ; V = 4/3 x ∏R3).

–        Patron d’un solide : mise à plat de ce solide permettant de le reconstituer par pliage, sans recouvrement ni trou = développement d’un solide. Il n’est jamais unique.

–        Programme : connaitre et utiliser un vocabulaire géométrique élémentaire (solide, pavé droit, face, sommet, arête). Reconnaître, décrire, énumérer, nommer quelque solides droits.

–        Champ pédagogique : liens entre des objets de la vie courante et leur correspondant mathématqiue. Savoir décrire un cube ou un pavé droit, les reconnaitre sur une représentation en perspective cavalière ou sur des dessins et photos.

Les longueurs – CE1 :

Publié: 11/05/2011 dans Cycle 2, Maths

–        Redonner du sens à la notion de mesure (vue en C1) : Réintroduire la notion par le vocabulaire + que – que, comparer des tailles.

–        Comprendre et savoir utiliser la notion de mesure d’une longueur, notion de report (bande de papier). –

–        Unités usuelles de mesure.

–        Problèmes.

La symétrie orthogonale – CE1

Publié: 11/05/2011 dans Cycle 2, Maths

–        Si pour une droite ∆, si tout point M fait correspondre le point M’ tel que M’ = M alors M  E ∆, ∆ est la médiatrice de [MM’] lorsque M E ∆. M a pour image M’ et M’ a pour antécédent M.

= réflexion d’axe ∆ = symétrie d’axe ∆.

–        Propriétés : c’est une bijection du plan dans lui-même (image est un point unique du plan), c’est une transformation du plan. Tout point de l’axe de symétrie est invariant : si M E ∆ alors M’ E ∆, si M a pour image M’ alors M E à l’axe de symétrie. Toute symétrie orthogonale conserve les distances : si M a pour image M’ et N pour image N’ alors MN = M’N’ = isométrie.

–        La symétrie orthogonale conserve l’alignement, les milieux, le parallélisme et l’orthogonalité.

–        Champ pédagogique : faire la différence entre une figure symétrique et une figure non symétrique. Découvrir les axes de symétrie pour une figure.

–        Variables péda : orientation de l’axe de symétrie, un ou plusieurs axes.


–        Varier les présentations d’un album pour éviter de perdre le goût de la découverte d’un livre. Lire en montrant les illustrations, en les cachant (images mentales), montrer les illustrations sans lire (inventer l’histoire), raconter l’histoire via des extraits choisis, résumer (pour des textes plus complexes).

–        Lecture intégrale quel que soit le cycle pour une vue d’ensemble une appropriation de l’histoire, une meilleure compréhension.

–        Lecture plaisir : pas de questionnement, goût de la découverte du livre. Peut se transformer en lecture de travail en fonction de la réaction des enfants.

–        Emission d’hypothèses à partir d’illustrations, de la 1ere de couverture, d’un personnage type, pour évoquer avant ou après, à partir du titre,  de la 4e de couverture.

–        L’enseignant doit raconter, résumer, donner des éléments avant la lecture.

–        Réseau en lecture : Questionnement autour d’auteur, de personnages, de techniques littéraires, de genres, de collections, d’intertextualité. Ex : lecture d’un texte difficile pour élaborer un questionnement et y répondre avec des textes plus simples, lecture progressive pour faire évoluer un concept, pas de progression mais une mise en relation entre des livres.

Il répond à un problème de lecture # réseau thématique.

–        Mise en place d’ateliers pour réinvestissement, rappel, approfondissement, prise de recul, construction d’un apprentissage (permet l’aide de pairs, d’être guidé par l’enseignant). Privilégier les hypothèses des enfants plutôt que de donner les consignes tout de suite.

–        Lecture littéraire : permet d’interpréter et d’accéder à l’implicite des œuvres ; au fonctionnement des textes, aux effets  de sens (via la culture littéraire) ; pour des textes complexes, résistants, polysémiques ; pour aider les enfants à tisser des liens entre les œuvres, à interpréter, à avoir envie de faire des lectures personnelles.

–        Parcours de lecture : organise les lectures sur une période pour mettre en réseau auteur, genre, illustrateur, personnage, façon littéraire de représenter une valeur/sentiment/émotion, le procédé d’écriture.

–        Différencier les albums lus gratuitement des supports d’apprentissages.

–        L’enseignant doit obligatoirement lire au préalable l’ouvrage pour défini un objectif, cerner l’apprentissage littéraire à mettre en œuvre, faire une lecture de qualité, répondre aux hypothèses des élèves.

–        Programme : textes lus quotidiennement (qualité de la langue, différents genres littéraires). Rencontre d’œuvres du patrimoine littéraire, imprégnation. Stimuler la curiosité par des questions (mots nouveaux, tournures  de phrases).

–        Penser à laisser un moment de silence à la fin de la lecture à cela permet de savoir comment sont les élèves : amusés ? touchés ? séduits ? …

–        Faire un présentoir des livres lus.

–        Motif littéraire : récurrence d’un élément dans la littérature.

–        Paratexte : ce qui accompagne le texte.

–        Réseau : mettre des textes en résonnance pour les rapprocher, les associer, les comparer et donc les mémoriser et se construire des repères importants

–        Réseau hypertextuel : reformulation d’une même histoire, adaptation, variante, parodie, réécriture.

–        Réseau intertextuel : connaissance de références puisées dans différents textes pour la comparaison du texte, pour un regroupement de personnages de contes.

–        Horizon de lecture : proposer un contenu à partir du titre, des illustrations, etc.

–        Abondance de lectures magistrales pour une culture commune.

–        Evaluation : raconter avec ses propres mots avec ou sans supports ; remettre des images dans l’ordre chronologique, faire une 1ere de couverture, proposer un titre, dessiner et/ou mettre en scène l’histoire, etc…., émettre des hypothèses .

Quadrillage :

Publié: 10/05/2011 dans Cycle 2, Maths


–        Papier à ligne, tableau à double entrée, plans rapportés  à un repère, papier pointé, repérage quel qu’il soit sur une feuille de papier.

–        Réseau : ensemble structuré de lignes, droite ou non, dans le plan qui permettent de joindre 2 quelconques de ses points en déplaçant uniquement le long des lignes du réseau. Ex : réseau routier, ferroviaire, informatique, etc.

–        Quadrillage : réseau composé de droites appartenant à deux directions perpendiculaires et délimitant des carrés de mêmes grandeurs. Généralement carré mais peut être triangulaire, rectangulaire, ou quelconque.

–        Activités : repérages sur un quadrillage, reproduction de figures, aide aux calculs d’aires.

–        Programme : activités de sériations (C1), prolongement sur des réalisations de frises, pavages simples de plans (intro aux tableaux à double entrée), tableau à double entrée, lecture ligne/colonne/Case., repérage de case, repérage de points, description du déplacement, repérage de figures, calculs d’aires, réalisation de graphiques.

–        Difficultés pouvant apparaître lors du passage de la localisation d’une case  à un point (nécessite une origine), ou de la ligne à un point.

–        Vocabulaire : case, ligne, colonne ; nœud, ligne horizontale, ligne verticale.

–        Applications : CASES : jeu de l’oie, marelle, bataille navale, plan de ville, tableau à double entrée.  LIGNES : lignes de métro, quadrillage avec origine, graphique dans une représentation de données.

–        Repérage d’une position : 2 données suffisent (couple de coordonnées), Repérage d’un déplacement : point de départ + point d’arrivée + coordonnées des nœuds ou cases de déplacement.

–        Chemin minimal : le moins possible de déplacements élémentaires.

–        Description d’un déplacement :utilisation  du langage naturel ou physique ( à droite, à gauche, vers le haut, vers le bas, est-ouest-sud-nord) ou d’un langage symbolique mathématique (coordonnées notées côte à côté, présence de flèches).

–        Champ pédagogique : reproduction d’un coloriage d’un tableau, d’une frise. Variables didactiques : plus grand quadrillage, autre type, changement du point de départ.  Continuer un coloriage selon des consignes. Reproduire des cases dans un quadrillage pour aboutir ç un codage de ces cases. Idem pour reproduire un nœud.

–        Difficultés lors de la reproduction ou des déplacements.